CARNETS DE ROUTE 2007

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11e Salon du Livre Policier à Lens (62): vendredi 30, samedi 31 mars et dimanche 1er avril
10e Salon du Livre à Eu (76): samedi 19 mai
8e Festival du Livre à Evreux (27): dimanche 02 septembre
15e Fête du Livre à Merlieux (02): dimanche 30 septembre
6e Salon du Livre à Aumale (76): samedi 06 octobre
10e Salon du Livre et du Disque à Breteuil-sur-Iton (27): dimanche 04 novembre
17e Rencontre du Livre à Maromme (76): samedi 17 et dimanche 18 novembre
3e Salon du Livre au Mesnil-Esnard (76): dimanche 25 novembre
3e Bouquinales à Ingré (45): samedi 08 et dimanche 09 décembre


Pour découvrir les photographies, cliquez sur les miniatures. Note :
Ces photographies ci-dessous ne sont pas libres de droit. Si vous souhaitez utiliser ce matériel, je vous remercie donc de nous demander l’autorisation de le reproduire. S’il s’agit d’images appartenant à une autre personne que moi-même, nous nous chargerons de questionner ladite personne.

11e Salon du Livre policier, Lens (Pas-de-Calais)
30, 31 mars et 1er avril 2007
Les plus
- Première participation à cette manifestation spécialisée «policier». Et qui dit «spécialisée» annonce davantage de ventes. L’adage ne sera pas démenti.
- Les organisateurs ont pris soin à chaque détail. Tout se déroule impeccablement. Notre hôtel est à deux minutes de l’Espace Bollaert où se tient le salon. Le soleil accompagnera nos visiteurs durant les trois jours.
- Première rencontre avec nos amis du Nord. J’espère les retrouver sur le Coin des Lecteurs et, surtout, notre Forum... Parce que ce Forum nous permet de nous réunir et de bavarder entre personnes de différentes régions, différents sexes et âges, d’expériences différentes. De quoi apprendre les uns des autres, de s’entraider, d’être ami... simplement.
- Nouvelles discussions avec des journalistes. L’un collabore à la Voix du Nord et l’autre au Journal du Pays. Celui-ci m’offre une interview. Outch!:)
- Le dimanche soir, de retour vers Paris, nous sommes en gare d’Arras. Et qui voyons-nous sur l’autre voie? Un monument, un mythe célébré par Agatha Christie: L’Orient-Express... Dire qu’il en aurait bien à raconter de tous ses voyages, de tous ses passagers emmenés au fil des ans... Que s’est-il passé dans ses voitures? Bonheur, malheur, retrouvailles, disputes, conversations passionnées... La longue distance que l’Orient-Express parcourt me rappelle l’un de ses confrères: le Canadian bien sûr. Mes souvenirs personnels me ramènent à Vancouver, Kamloops, Jasper, Edmonton, Winnipeg, Toronto. La nostalgie arrive...

Les moins
- Bien qu’arrivées jeudi après-midi à Lens, nous n’avons fait qu'un petit de tour. Personnellement, je n’ai pas pu utiliser les jours restants pour visiter la ville...
- La malédiction qui frappe encore! Non? Siiiiiiiiii! Dimanche soir, nous avons donc repris le TGV qui doit arriver vers 19h30 à Paris. Hélas! Des problèmes sur la voie ont pour conséquence un retard de cinquante minutes... Grr... Bien sûr, plus l’heure avance et moins les Rer en gare de Magenta vers Haussmann sont nombreux! Je peste!!!

Voici des photographies:

Au travail... Non... Même s’il demande beaucoup de concentration, un salon est synonyme de plaisirs! Maintenant, une visite de Lens? Venez!

Le Boulevard Emile Basly, vu d’un côté (A), et de l’autre.

A l’extrémité du côté A, le beffroi.

La Salle Jean Nohain où se tenait le Salon
Copyright des photographies: J. Letellier.


10e Salon du Livre, Eu (Seine-Maritime)
19 mai 2007
Les plus
- Une fois n’est pas coutume, je suis partie de Paris le vendredi. Cette demi-journée supplémentaire me permet de découvrir le centre ville et de ramener quelques souvenirs. Que voulez-vous? J’adore voyager, visiter les sites où je vais. Ma frustration habituelle est donc restée à la maison! Chouette!!!
- Le plaisir de revenir à ce salon qui fête déjà ses 10 ans. Quant à moi, il s’agit de ma quatrième invitation consécutive. Mais, surtout, Eu est un symbole puisque j’ai participé à ma toute première manifestation ici même. Venue en tant que visiteuse, j’y suis restée en tant qu’exposante. Un sentiment profond vous étreint lorsque des personnes vous donnent amplement votre chance. Comme cela... Parce que nous sommes des êtres humains, en gardant toujours à l’esprit ce mot: «humain».
- Des visiteurs très sympathiques avec qui je peux prendre le temps de discuter de mes romans!
- Des retrouvailles avec mes amis Serge et Josette qui étaient mes voisins... à mon premier salon d’Eu. Depuis, quelle route ai-je effectué!
- Comme toujours, un déjeuner exquis où je goûte pour la première au pot-au-feu au haddock/chou. Ce poisson fumé ravit le palais!

Les moins
- Euh... Bon, passons l’anecdote dans cette rubrique. D’ordinaire, une navette nous ramène d’Eu jusqu’à la gare d’Abbeville. Le... petit hic est que je l’ai ratée! Enfin, je me suis présentée à 17h30. Les autres auteurs sont-ils venus au rendez-vous en avance? Ou est-ce parce que venue la veille, je n'étais pas dans le minibus le matin-même? Bref, plus de navette... Et ce train de 18h34 est le dernier pour Paris. L’adjointe à la Culture, Mle Vergnaud, apprend ma mésaventure. L’un de ses collègues m’invite à monter dans sa voiture. Il espère rejoindre ainsi la navette sur la route.. Navette que nous ne verrons pas... Heureusement, nous arriverons bien avant l’heure de départ du Corail à Abbeville.
Hé... La malédiction des transports avait voulu frapper! Vous pensez, quand même: oui, oui, encore une fois!


8e Festival du Livre, Evreux (Seine-Maritime)
02 septembre 2007
Les plus
- Un cadre changé par rapport à l’an passé: une partie des stands des auteurs se situe sur les bords de l’Iton qui est un canal. Face à moi, sur l’autre rive, des bouquinistes sont présents, de même des musiciens.
- Un soleil présent, bien que timide, et accompagné par de gros nuages par certains moments.
- Des organisateurs aux petits soins.
- Aucun problème de transport. Le soir, mon train arrive même avec trois minutes d’avance, ce qui me fait gagner du temps pour ma correspondance. Au lieu de 20h20, nous repartirons à 20h05.

Les moins
- Pour être sincère, des visiteurs frileux. J’entends des «Je regarderai à la bibliothèque». Certes, le hic est que la personne ne vient pas découvrir le titre des romans. Dans ce cas, cela me paraît hautement impossible de commander des livres à sa bibliothèque.
Est-ce la possibilité de dénicher plus loin des ouvrages à bas prix grâce aux bouquinistes? Les gens n’osent même pas s’approcher. Ils ne flânent d’ailleurs même pas. Cela devrait un dimanche de promenades. Il me semble qu’il s’agit plus d’un dimanche de courses où chacun est pressé.
Je rencontre tout de même de futurs lecteurs. Si bien que mon coeur est léger, arrivé le soir.
- J’oubliais... Le vent... à cause de qui j’ai pollué l’Iton. Ouais... L’une de mes cartes s’est envolée et a atterri sur l’eau. Trop loin du bord pour la récupérer... Je sais, cela ne va pas causer la mort de la planète. N’empêche que j’aurais aimé ne pas laisser ce document naviguer ainsi.

Voici une photographie:

Au bord du Canal de l’Iton, sur le quai où se trouvaient nos stands. Hélas, un nuage était aussi présent!
Copyright des photographies: D. Letellier.


15e Fête du Livre, Merlieux (Aisne)
30 septembre 2007
Les plus
- Un soleil présent du matin à la fin de l’après-midi.
- Des organisateurs cool.

Les moins
- Comme pour Evreux, des visiteurs frileux. La Fête du Livre a lieu, en grande partie, dans les rues du village de Merlieux. Les gens avancent donc sur l’asphalte. Ce jour-là, j’entends (et mon voisin aussi): «Je regarde!» (la personne vous lance cette phrase tout en marchant à trois mètres de votre stand. Oups, quels bons yeux!...):(
J’ai cette impression que les gens ont peur de s’approcher, ont peur que le commercial prenne le pas sur l’artistique... Pour moi, mes romans sont des oeuvres, et non des produits.
- La malédiction a... frappé. Oh! Non, pas pour le transport. Notre stand est recouvert aux trois quarts d’une toile. Pour nous permettre de voir arriver les promeneurs, nous avons ouvert le pan près de moi. Malheureusement, même fermé, le constat sera le même. Le stand est situé à côté d’une bouche d’égout qui renferme un problème. Nous entendrons alors à maintes reprises «Oh! Cela pue ici!» (sic). Je me débrouille pour boucher les orifices avec des grands sacs en papier, du carton, en vain... De temps en temps, une odeur repoussante arrive à mon nez... J’en suis désolée pour les visiteurs... Maigre consolation... D’autres exposants ont dû affronter le même problème.

Voici des photographies:

Mon stand. En bas, vers la droite, mon système MacGyver pour empêcher les odeurs. Sans succès...

L’une des maisons très anciennes bordant la rue où nos stands étaient placés.

La rue où nous étions. En bas, à gauche, Minette(?) qui venait nous visiter très souvent.
Copyright des photographies: D. Letellier.


6e Salon du Livre, Aumale (Seine-Maritime)
06 octobre 2007
Les plus
- Un soleil présent du matin à la fin de l’après-midi. Il a dû me suivre depuis Lens!
- Des organisateurs adorables, parmi mon top absolu.:)
- Un afflux de visiteurs, surtout l’après-midi, comme l’année dernière. Je rencontre cependant davantage de futurs lecteurs. Le résumé de Légendes fait souvent sourire les visiteurs. Quelques propos entraînent alors une discussion. J’adore ces instants. Une difficulté demeure: celle de parler des histoires sans déflorer le suspense. Un mot en trop dit et... Pouf ! Et ce n’est pas évident de parler des aventures de Marion et d’Alex, juste en répétant le résumé. Neuf fois sur dix, je remarque que les gens ne feuillettent même pas mes romans: ils les prennent une fois avoir lu la quatrième de couverture. Génial!:):)
- Je retrouve certains habitués: Serge et Josette, Zappy Max, Jean-Paul Rouland (j’avais déjeuné avec tous les deux en 2005), Janine Boissard, Michel de Decker et de nouvelles têtes: l’actrice Grâce de Capitani, Nadine de Rotschild.

Les moins
- Une après-midi qui a filé...

Voici une photographie:

A gauche, mon stand. A droite, debout, Jean-Paul Rouland.
Copyright des photographies: D. Letellier.


10e Salon du Livre et du Disque, Breteuil-sur-Iton (Eure)
04 novembre 2007
Les plus
- Une première participation, sous le patronage d’organisateurs chaleureux.
- L’accueil, la salle, les dispositions, le déjeuner offert, tout: le maître-mot est «impeccable».
- Une bonne couverture médiatique par les rédactions locales.
- De belles rencontres, comme d’habitude. Pourquoi en quatrième point seulement? Parce que j’avoue être un peu déçue. Une personne m’a expliqué au cours de la journée que la population de la ville était un peu vieillissante. Au fil des heures, je le constate de visu. Les visiteurs sont âgés, mais semblent surtout pressés et frileux par rapport aux fantômes. J’ai cette impression qu’ils sont moins sensibles au suspense. Cela dit, j’ai presque atteint mes objectifs et je reste tout de même ravie de l’ensemble de ce dimanche.

Les moins
- Non, je sais... Je semble insister et, pourtant... Cela est encore vrai!... La malédiction a frappé... Peu après Versailles, le TER ralentit, ralentit, jusqu’à prendre quinze minutes de retard. Il y a quelques mois, j’avais acquis un portable, me doutant qu’il me serait fort utile lors de mes salons. Cela m’a permis de prévenir la personne chargée de m’accueillir à la gare. N’empêche, cette persistance de la malédiction m’exaspère au plus haut point! Qu’elle aille chercher quelqu’un d’autre ou qu’elle prenne mille années sabbatiques!

Voici des photographies:

Le Salon du côté des auteurs.

Le Salon du côté des bouquinistes.
Copyright des photographies: D. Letellier.


17e Rencontre du Livre, Maromme (Seine-Maritime)
17 et 18 novembre 2007
Les plus
- Le plaisir de retrouver ce salon et ses organisateurs pour la quatrième année consécutive.
- L’autre plaisir de retrouver cette fois Serge et Josette, témoins de mon premier salon en 2004.
- Bien après la Rencontre, je consulte les journaux achetés. J’ai la surprise de voir que l’un d’eux a annoncé ma présence à cette manifestation. Cela a figuré en bas de page. Il ne s’agit que de peu: «La romancière rouennaise Dominique Letellier rencontrera ses lecteurs lors de la 17e Rencontre du Livre de Maromme ces 17 et 18 novembre». Toutefois, ce soutien médiatique me réchauffe le coeur d’autant plus que le nombre total d’articles couvrant le salon fut réduit à une peau de chagrin: une seule véritable annonce qui tient en quelques lignes le samedi 17 dans le Paris Normandie.

Les moins
- A entendre d’autres auteurs, je semble ne pas m’être trop mal sortie de cet événement. Mais les lecteurs n’étaient pas au rendez-vous, ou plutôt, les vrais lecteurs ne furent guère nombreux. L’an passé, mes visiteurs avaient déjà, plus ou moins, des livres sous le bras. Je les sentais passionnés, intéressés par la manifestation. Cette année (et ce n’est pas le premier rendez-vous pour lequel je ressens cela), les gens viennent plutôt en visiteurs... pour passer quelques instants. Ils ne sont pas, ils ne sont plus des dévoreurs de textes. Est-ce en même temps le «pire»? Lorsqu’une personne vous parle vingt minutes, trente minutes, voire plus, à vous poser questions sur vos romans (pourquoi ce thème, combien de temps écrivez-vous, etc.) puis repartent avec un très léger «bon, merci, au revoir!» Ils ont semblé intéressés, vraiment intéressés, mais ce n’est qu’une impression. Pourquoi passer autant de temps à poser ces interrogations puisque, en fait, le roman (intrigues et personnages) ne les captive pas? Par comparaison, des gens s’arrêtent, lisent le résumé de mes romans et lancent un «je le prends!». Cela a duré, quoi? Cinq minutes ?! Je signe tout en bavardant et ils partent, le sourire aux lèvres. Ce premier comportement de gens détachés me semble de plus en plus fréquent. Les constatations de Serge, qui est également auteur, sont similaires aux miennes. Allez, je l’avoue. Ce qui m’horripile aussi est lorsque les visiteurs discourent sur un autre auteur et ses romans pendant de longues minutes. Ne comparez pas! Nous sommes présents à un salon pour rencontrer nos lecteurs, pour bavarder avec nos futurs lecteurs au sujet de nos propres oeuvres. Cela est aisé pour le visiteur de saisir le livre, de lire le résumé, de feuilleter l’ouvrage puis de poser des questions à l’auteur qui est assis face à vous. A quoi bon me parler des romans de Machin Truc? Chaque écrivain a son style, sa personnalité, ses propres intrigues... Une idée: imaginez-vous ce scénario. Au détour d’une rue, vous rencontrez une relation. Pendant trente minutes, elle vous parle exclusivement d’un tiers que vous ne connaissez pas. Puis elle vous quitte sans même vous avoir demandé comment vous allez et quelles sont les dernières nouvelles vous concernant... Frustrant, peinant. Oui, telle est la vérité...
- Cette couverture médiatique lamentable. Pour connaître les efforts des organisateurs, je sais que la faute ne leur incombe pas. Depuis plusieurs mois, la direction de Paris Normandie a changé. Aujourd’hui, les fautes relevées dans différentes éditions sont incroyablement nombreuses et gigantesques. La culture n’occupe plus la même place qu’auparavant dans leurs pages. Les années précédentes, de véritables reportages paraissaient avant et après la manifestation. D’autres présentaient des auteurs: rappelez-vous l’article qui m’était consacré en 2005. J’ai l’impression que dix siècles se sont écoulés.
Pas d’article dans la presse locale ou régionale, des visiteurs en moins forcément. Bien sûr, les irréductibles viennent. Pour autant, il est préférable de leur rappeler la date de la manifestation. Il est intéressant pour chacun (organisateurs, auteurs, lecteurs) de connaître le nom des participants, les thèmes soulevés, tant pour les livres que pour les débats organisés.


3e Salon du Livre, Le Mesnil-Esnard (Seine-Maritime)
25 novembre 2007
Les plus
- La gentillesse incroyable des organisateurs, notamment celle de la personne qui gère de nombreux dossiers. Aucun doute, Le Mesnil figure dans mon Top 5!:)
- Je retrouve Serge et Josette avec qui nous déjeunerons. J’ai également le plaisir de revoir Jean-Paul Rouland, sa compagne (je pense!) et Zappy Max, ainsi que Joëlle Quentin-Doucet. En début d’après-midi, j’échangerai de nouveau quelques propos avec elle. La simplicité de Monsieur Rouland et de Zappy fait plaisir. En effet, au Mesnil-Esnard, ma route a croisé d’autres auteurs vus précédemment. Un regard, mais aucun mot, aucun sourire. Oui, un regard si vite détourné... Tandis que Monsieur Rouland et Zappy Max vous tendent les premiers la main. Zut, ils sont connus, ont bourlingué, ont rencontré combien de célébrités? (les vraies, j’entends). Ils restent accessibles, ne vous snobent pas. Sans problème, Zappy a accepté de me signer un autographe pour une amie alors que je n’avais pas de livre (oups). Une chaleur se dégage de Joëlle et de la compagne de Jean-Paul Rouland. Je discute, oui, simplement avec elles. Nous échangeons nos idées, nos commentaires sur des problèmes rencontrés... Et, d’autres... non, ne perdons pas plus de temps avec eux/elles Ettttt... pas de nom, car pas de promotion!!!
- Une très belle rencontre avec des lecteurs, un couple qui se reconnaîtra s’il vient sur le CDL. Merci à vous! Vous fûtes un rayon de soleil au Mesnil pour moi ce jour-là.
- Un peu de gourmandise: un déjeuner exquis... Pour la première fois de ma vie, j’ai goûté à un soufflé normand, un dessert que je vous recommande, une merveille réalisée à base d’oeufs.
- Hasard ou... Non, ce n’est pas le hasard, ma table est à côté des organisateurs d’un autre salon... Nous faisons connaissance et... Victoire, je suis invitée l’an prochain à cette manifestation et j’ai des chances pour 2009. Si vous avez lu la rubrique adéquate sur mon Forum, la pertinence de ma remarque ne vous échappera pas!

Les moins
- Les médias. Vous pouvez lire (ou relire) le paragraphe déjà noté au Carnet de Maromme 2007. Hélas, mon commentaire pour Le Mesnil-Esnard ne déviera pas d’un iota.
- Je me répète... Le peu de lecteurs rencontrés. Les visiteurs furent une fois de plus nombreux l’après-midi, mais... Comme me l’a fait remarqué la compagne de Jean-Paul Rouland, d’une part, les gens n’achètent pas ou, si peu (note: très peu) pour eux-mêmes. Mais, d’autre part, ils ne songent même pas à acquérir un livre en vue de l’offrir comme cadeau à un proche à Noël!!!
Le plaisir de lire semble vraiment être relégué aux oubliettes. Cela donne froid dans le dos. Car ce que je constate pour moi-même est valable pour divers auteurs. Ce n’est donc pas purement personnel. Malgré tout, ce n’est pas une consolation. Nous aimons écrire, nous aimons partager...

Voici des photographies:

L’inauguration de la manifestation par Monsieur Harel, Maire.

Zappy Max!

La Salle des Fêtes
Copyright des photographies: D. et J. Letellier.


3e Bouquinales, Ingré (Loiret)
08 et 09 décembre 2007
Les plus
- Comme à Breteuil-sur-Iton, première participation. L’enthousiasme, la gentillesse et la disponibilité des organisateurs sont plus qu’au rendez-vous.
- Les lecteurs sont plus nombreux qu’au Mesnil-Esnard (ouf!) et davantage attirés par Pièges. Nous discutons au sujet des apparences, des manipulations. A qui peut-on accorder sa confiance? Ne devient-on pas alors plus fragile ou, bien au contraire, cette confiance ne donne-t-elle pas une nouvelle force indispensable qui permet d’avancer? Mais jusqu’où donner cette confiance??? Que peut-on recevoir en retour??
- Le matin, à l’hôtel, en ouvrant le journal, je reçois une bonne surprise: l’article paru dans la République du Centre. Merci! Etonnée, je constate qu’ils ont repris la photographie parue dans le Journal du Pays (Salon de Lens en mars/avril).
- Ma mère m’accompagne de nouveau. Notre arrivée vendredi en début d’après-midi à Orléans nous permet de faire connaissance avec la ville (voir plus bas).
- Je n’ai pas pu m’empêcher de prendre quelques «souvenirs» d’Orléans. Dimanche, trônera sur ma table Lady... qui attirera bien des regards! La pellicule qui contient sa photographie n’est pas encore développée. Vous découvrirez donc la Belle Dame l’an prochain!
Note du 03 juin 2008. Vous l’attendiez... Voici... Lady:

Oui, elle n’est pas très bien «coiffée», mais bon...:):)

Les moins
- J’aurais dû m’informer auparavant. L’hôtel est situé dans une zone commerciale à l’extérieur de la ville. Pour y arriver, c’est la vraie galère, car rien n’est vraiment prévu pour les piétons. Les voitures, les camions affluent. En plus, il était déjà 17h30 lorsque nous sommes descendues du bus; la nuit était tombée.
- Le dimanche matin, nous sommes averties d’une... grève des trains... Ouiiiiiiii...:( Il nous faut partir à 15h30 du salon. Ma tête s’allonge de mille mètres... Finalement, je retourne voir une organisatrice. Elle se renseigne de nouveau. Ouf, notre train sera à 18h01. Nous quitterons donc Ingré à 17h25.
- Le nombre de lecteurs sera moindre ce deuxième jour.

Voici des photographies (j’ai dû en éclaircir):

Orléans. La Rue de la République, commerçante, où passe le Tram. Près de la Gare.

Orléans. Le bas de la Rue de la République, près de la Place du Martroi.

Orléans. La Place du Martroi, avec la statue de Jeanne d’Arc.

Orléans. La Place du Martroi, avec la statue de Jeanne d’Arc, le Marché de Noël. Au fond, la Cathédrale Sainte-Croix.

Orléans. La Place du Martroi, avec la statue de Jeanne d’Arc et le Marché de Noël.

Orléans. La Rue Bannier, parallèle à la Rue de la République.

Ingré. A la sortie de l’Espace Lionel Boutrouche.

Ingré. L'Espace Lionel Boutrouche.

Ingré. A l’intérieur. Désolée pour la lumière!

Ingré. Dans la salle, un autre angle... à une heure de peu d’affluence.

D'autres photographies ajoutées le 08 novembre 2009:

L'inauguration du Salon.
 
Et la Belle Lady!

Copyright des photographies: J. Letellier.


Encore merci beaucoup à toutes celles et à tous ceux qui sont venus me rencontrer à ces différents salons!















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